mardi 31 mars 2020

[Musique] Dans mon slip, Volume 2


Et voici donc le retour tant attendu de Prince Gérard, alias Le Prince de la Vigne, alias Gérard Baste !

Aprés un dernier album qui soufflait le chaud et le froid, ce deuxiéme volume de "Dans mon slip" revient aux fondamentaux du bonhomme : de l'alcool, du sexe, des feat plus ou moins improbables (Nitro d'Enhancer, Seth Gueko, ou les nombreuses apparitions vocale de Mr Poulpe), et la vie de Gérard. Et il faut reconnaître que, sur l'ensemble du disque, on ne s'ennuie pas. Quelques morceaux sont un peu en deça, mais les fans du bonhomme auront de quoi faire en écoutant ce second volume, qui m'a globalement convaincu !


Tracklist :

01 - Bonne nuit
02 - Slip Life (feat. Fancie)
03 - Olé !
04 - Dans la baraque
05 - Les Morfalous (feat. Wamo)
06 - Chaud Patate (feat. Seth Gueko)
07 - Des promesses
08 - Hellfest RMX (feat Xavier, Nitro (Enhancer) & Waxx)
09 - J&M
10 - L'épicier (Feat. Lady F)
11 - Lunettes Zizi
12 - Nuit d'amour
13 - Dirty Apero (feat. San Nom)
14 - Saxo toujours (Interlude)
15 - Sacavins !
16 - Tu connais déjà
17 - Tout péter (feat. Xavier)
18 - Bonne journée


[DVD] Le vampire de Dusseldorf


Inspiré de l'histoire vraie de Peter Kuerten, ce film de Robert Hossein mérite d'être rédécouvert...

Dans l'Allemagne de l'entre deux guerre, et alors que le nazisme monte, un homme prend plaisir à tuer des femmes, et raconter ses meurtres...

Le Vampire de Dusseldorf, c'était donc Peter Kuerten, ici incarné par Robert Hossein, qui va en faire un personnage assez monolithique, mais ça lui va totalement. Et le voici donc, dans une étrange ambiance pas si glauque que ça, partant traquer des femmes. Rien de violent, ou de gore dans ce film, simplement une histoire de serial killer, qui sort un peu de l'ordinaire.


Et elle en sort parceque Hossein s'y prend bien pour mêler les séquences dans lequel son personnage apparaît comme un tueur, et celles dans lesquelles il se comporte tel un Homme comme vous et moi. Un film au rythme assez lent, mais un film fort plaisant !


Réalisé par : Robert Hossein

Scénario : Robert Hossein, Claude Desailly, Georges Tabet & André Tabet

Compositeur : André Hossein

Casting : Robert Hossein, Marie-France Pisier, Roger Dutoit, Annie Anderson...

Sortie : 07 Avril 1965

Durée : 1H27




lundi 30 mars 2020

[Retro Todd Phillips] Frat House


Aprés un premier documentaire sur un sujet punk, revoici Todd Phillips dans un autre documentaire, pour HBO cette fois.

Le sujet est bien entendu tout autre. Un sujet qui ne risque pas de toucher, en France : Les fraternités. Aux état-unis encore aujourd'hui, les fraternités sont un passage quasi obligé pour tout étudiant. Le réalisateur filme donc une fraternité, et l'intérieur de la maison dans laquelle ils vivent. Des fêtes bien arrosés, avec Strip teaseuse et autres folies, aux rares moments estudiantins, il ne semble vouloir faire l'impasse sur rien.


Entre les interviews, on trouve donc des images parfois pas destiné à tout les publics. Ce qui n'empêche pas le film d'être intéressant pour de nombreuses raisons. Déjà parceque, chez nous, on a qu'une vague idée de la façon dont tout cela se passe, mais aussi parceque le film reste comme un témoin de son époque, ayant plus de 20 ans aujourd'hui. Et en plus, ce n'est pas bien long.


Réalisé par : Todd Phillips

Sortie : 21 Janvier 1998

Durée : 60 min


[Roman] Les cités des anciens - Tome 4 : La décrue


Retrouvons l'équipe des gardiens et leurs dragons pour ce 4éme tome globalement trés réussit !

Malgré tout, il l'est peut-être un poil moins que les précédents. Car si on retrouve toute notre fine équipe, bloqué sur place au début, puis rassemblé et avançant vers l’hypothétique Kelsingra, il faut reconnaître qu'il y a quelques répétitions dans l'histoire et quelques instants qui ne semblent pas beaucoup avancer. En cela, ce tome est peut-être le moins bon depuis le début. Mais être le oins bon d'une excellente saga n'en fait pas un mauvais roman. Loin de là, il est, en effet, trés bon malgré tout. L'écriture agréable de Robin Hobb fait toujours largement l'affaire et donne envie de découvrir rapidement la seconde moitié de cette saga des plus intéressantes ! De retrouve Thymara, Leftrin, Alise ou encore Sédric, pour les 4 tomes restants !


Ecrit par : Robin Hobb

Sortie : 04 Mars 2010

Nombre de pages : 358

[VoD] Last Call


En 2017, Gégé à fait une pause dans son sauvetage du monde pour, le temps d'un film, revenir vers un drame...

Dane Jensen a un bon boulot : il doit trouver du boulot à des gens. Et pour ça, il essaie de les placer dans des entreprises, quitte à leur faire prendre la place d'autres. Et alors qu'il s'apprête à prendre la place de son patron, qui prend sa retraite, le fils de Dane est atteint d'une leucémie...

Il y a de bonnes choses dans ce film. Voir même de trés beaux moments, qui parviennent à mettre la larme à l'oeil. Et globalement, ce film a un certain coeur. Dommage qu'il tombe régulièrement dans quelques scénes clichés, et ne parviennent pas à trouver de vrais moments de grâce. Ce qui le limite un peu alors que cette histoire d'amour d'un pére pour son fils, d'un fils pour son pére aussi, qu'il admire sans vraiment savoir pourquoi.


Au fond, on a tous déjà vu, lu, ou même connu cette histoire d'un homme tellement pris par son travail qu'il ne prend conscience de son amour pour son fils qu'au dernier moment. Mais elle reste belle. Alors quand en plus il y a un joli casting (Butler est trés bon ici), on peut se laisser entrainer avec plaisir !


Réalisé par : Mark Williams

Scénario : Bill Dubuque

Compositeur : Mark Isham

Casting : Gérard Butler, Alison Brie, Willem Dafoe, Gretchen Mol...

Sortie : 17 Novembre 2017

Durée : 1H55




[Autre] La fête du court métrage 2020


Cette année, confinement oblige, La fête du court métrage avait lieu pas loin de chez moi. Chez moi en fait, sur mon bureau. Il suffisait que j'allume mon PC. Aucune raison de le louper donc. Retour donc sur les différents films présentés, qui était donc accessible à de nombreuses personnes, avec un simple player à télécharger, et des identifiants. Plaisir ? Souffrance ? Les deux ? Aucun ? Parlons en !

La premiére partie du programme porte le nom de Petit mais costaud. Un programme dédié aux jeunes spectateurs, de 3 à 5 ans. Mais je m'en fous, c'était mon âge à mon époque, quand j'avais 3 à 5 ans. Donc j'en parle :

01 - Acorn (de Madeline Sharafian)


Joli petit film à l'animation 2D de qualité, il raconte l'histoire d'un gland tombé de l'arbre (Rien à voir avec moi). Celui ci commence alors à vivre sa vie, avant d'en comprendre le but. 4 minutes pour cet adorable petit film de 2014.



02 - La petite fille et la nuit (de Madina Iskhakova)


Pas forcément fan du style tout en "collage" de ce court, j'émets aussi un doute sur son sujet même. Une jeune fille vit avec trois buffles et a peur de la nuit, qu'elle devra combattre pour retrouver l'âme de son frére. Sauf que le message final laisse une place à la réussite d'un chantage donc bon... Mauvaise note pour ce court de 2015 de 9 minutes



03 - Une histoire au zoo (de Veronika Zacharova)


4 minutes pour ce film de 2015, au style trés enfantin, dessiné et qui présente une jeune fille quittant sa mére lors d'un voyage au zoo, pour passer du temps avec un gorille, pendant que sa mére s'inquiéte. Un film bien plus simple, mais aussi plus agréable que le précédent !

04 - Je mangerais bien un enfant (de Anne-Marie Balay)

Un jeune crocodile a une envie étrange : il veut manger un enfant. Ces parents vont donc essayer de trouver un moyen de lui faire manger autre chose. Ici, c'est surtout l'esthétique de ce court 2016 (de 4 minutes) qui retient l'attention, à base de cailloux et autres choses que l'on peut trouver sur une plage. Un rendu étonnant, mais qui fonctionne et en fait une belle expérience !

05 - The Mew-Sician (de Madeline Sharafian)


Même pas 1 minutes 30 pour ce film de 2012. Un chat poursuit une série, dans une animation en noir et blanc, et tombe sur un piano. Il se met alors à en jouer. C'est joli, c'est simple, mais c'est franchement sympa à regarder !



06 - La luge et le dragon (de Eugenia Zhirkova)


2 minutes 30 pour ce film de 2017 dans lequel une jeune fille va faire de la luge, mais est renversé par un dragon, puis heureusement sauvé par un chevalier... qui ne sera autre que son pére. C'est mignon, animé simplement, et ça fait le boulot.

07 - La loi du plus fort (de Pascale Hecquet)


Film amusant de 2014, et de 6 minutes, celui-ci, dans un style trés coloré, nous montre un petit singe devant rivaliser avec deux gros singes pour une banane. Qui gagnera ? Un film sur l'importance de l'ingéniosité bien sûr !



08 - Un peu perdu (de Héléne Ducrocq)


Une jeune chouette tombe de l'arbre et est séparée de sa mére dans ce court de 5 minutes de 2017. Coloré et dans un style pastel, le film va voir cette jeune chouette recherché sa mére. C'est joli, ça reste mignon, mais c'est un peu simpliste. Bien fichu malgré tout.




La seconde partie se nomme Au fil de l'eau et s'adresse cette fois aux spectateurs de 5 à 7 ans. C'est fou mais j'ai aussi eu cet âge. Comme quoi la vie est bien faite !

01 - Crabe-Phare (de Gaëtan Borde, Benjamin Lebourgeois, Claire Vandermersch, Alexandre Veaux & Mengjing Yang)


7 minutes pour ce court de 2015. On y voit un crabe surmonté d'un phare, qui va grandir et attirer l'attention des humaisn, qui vont en faire un lieu touristique, s'y installer, et finalement, comme souvent, tout foutre en l'air. Un petit film écologique trés réussit dans une 3D de bon aloi !



02 - Le moine et le poisson (de Michael Dudok De Wit)


En 1994, bien avant de s'associer avec Ghibli pour réaliser La Tortue Rouge, Michael Dudok De Wit réalisait ce film dans lequel un moins tente d'attraper un poisson un peu revêche pendant prés de 7 minutes. Avec une animation simple et un style renvoyant à ce que peut faire l'Asie, voici encore un joli film à découvrir !



03 - Drôle de poisson (de Krishna Chandran A. Nair)


Marrant petit film de 2017 tout coloré, de 6 minutes, ce Drôle de poisson présente donc des poissons qui vont confondre un ballon rempli d'air avec un des leurs, et croire qu'il est coincé à la surface de l'eau. Ils vont tout faire pour le sauver. C'est parfois un peu simpliste, mais ça détend, et c'est bien fichu !



04 - Clapotis (de Mor Israeli)

Clapotis, c'est un court de 4 minutes, de 2017, dans lequel on se balade, en 2D, dans une piscine. Et on y voit tout ce que l'on y voit habituellement. Des enfants, des jeunes, des sportifs, dés qui le sont moins. ça reste un peu léger cependant... même si l'animation 2D est de qualité.

05 - La tortue d'or (de Célia Tisserant & Célia Tocco)


Ce film de 12 minutes, de 2018, voit un homme dont la femme est enceinte partir à la pêche. Mais il péche une tortue d'or qui lui promet d'exaucer ses voeurx s'il la relâche. Bonheur ou malédiction ? Ce film à la morale prévisible n'en demeure pas moins bien dessiné, intéressant, et globalement bien foutu !

06 - Aprés la pluie (de Valérian Desterne, Rebecca Black, Céline Collin, Juan Olarte, Juan Pabloe De La Rosa Zalamea, Carlos Osmar Salazar Tornero & Lucile Palomeno)


C'est le chien d'un berger un peu particulier que l'on va suivre ici puisque ce berge tond ses moutons pour en créer des nuages qu'il envoie déverser la pluie. Le soucis étant qu'à la mort du berger, le chien fait dace à une terre aride... il va devoir trouver une solution dans ce court métrage assez poétique de 2018, et de 8 minutes, que je vous conseille grandement !


La troisiéme partie, à partir de 14 ans (tiens, j'ai... ouais bon, j'arrête) s'appelle Rions un peu. A priori, on part sur de la comédie là ! C'est plus long, et cette fois il y a du live et de l'animation !

01 - Pauline Asservie (de Charline Bourgeois-Tacquet)


23 minutes pour ce court de 2018. Pauline (Anaïs Demoustier) sort avec un homme marié qui a 25 ans de plus qu'elle. Elle part en vacance à la campagne avec son amie Violette et Bruce (l'homme en question) lui a dit qu'il partait en voyage une semaine. Et il ne lui envoie plus de message... Elle va donc attendre de ses nouvelles pendant des jours, passant par toutes les phases d'une obsession amoureuse. Bien interprété, filmé justement, et possédant une histoire intéressante, voici un film qui mérite d'être découvert !



02 - Mon troquet (de Louis Delva)


Durant 5 minutes, ce court de 2011 présente un homme (Jonathan Cohen) qui cherche absolument à faire partie d'un habitué des bars. Alors il adopte les attitudes qu'il a vu un peu partout, en espérant avoir des conversations, des regards sympathique. On croise aussi Camille Cottin dans ce petit film plutôt rigolo et tout à fait bienvenue.

03 - Pile Poil (de Laurian Escafre & Yvonnick Muller)


Elodie doit passer son CAP esthéticienne dans ce court de 21 minutes (de 2018). Elle travaille en même temps à la boucherie avec son pére (Grégory Gadebois) et doit trouver un modéle. En l'absence ce ceux ci, c'est son pére qui va servir de modéle pour son examen... Un film plutôt sympa sur les rapports entre enfants et parents. Si la photo m'a parfois un peu gêné (elle est trop claire), le film est plaisant.



04 - Tu mourras moins bête (de Héléne Friren & Pierre Volto)


Ici, ce sont deux épisodes (de 3 minutes chacun), sorti en 2020, de cette petit série qui sont diffusée. Le futur selon Tom Cruise, et Le physique du Pére Noël. Cette série décrypte donc des choses qui semblent impossible, en détail, et avec de l'humour. Globalement, c'est plutôt marrant. C'est animé, mais je n’enchaînerais pas toute la série tout de suite...



05 - La chanson (de Tiphaine Raffier)


31 minutes pour ce film de 2018. Pauline fait partie d'un groupe de sosie. Elles reprennent Abba. Mais Pauline décide de quitter le groupe pour écrire ses propres chansons. Dans un style bien particulier puisqu'elle chante des notices de produits électronique. Une de ses amies va aimer, l'autre détester. Un style bien étrange pour ce film plutôt réussit dans je vous conseille le visionnage, et qui a l'avantage d'être hyper bien fichu.



06 - Plaisir Sucré (de MegaComputeur)


2 minutes pour cet animé en 3D qui voit des pâtisserie vouloir être mangés ! C'est court, c'est simple, mais c'est une nouvelle fois plutôt sympa à voir. Mais pour le coup, c'est peu ambitieux.



07 - Clean (de Benjamin Bouhana)


10 minutes pour ce film de 2012 qui rassemble Laurent Lafitte, Fanny Valette, Jonathan Cohen ou encore Alice Isaaz. Lafitte jour un type, stewart, qui doit se soumettre à un test d'urine. Pas Clean du tout, il va chercher quelqu'un qui puisse remplir son flacon. Dommage que le final soit si prévisible car le film est plutôt sympathique dans l'ensemble...


La 4éme partie du programme se nomme Femme d'hier et d'aujourd'hui. Elle est pour tous bien sûr, et le sujet parait clair !

01 - Max (de Florence Hugues)


Court de 2019, de 18 minutes, Max raconte l'histoire de Maxine, une jeune femme en stage dans un garage auto. ELle se débrouille, mais va devoir faire face au fait d'être une femme dans un masculin trop masculin. Et voici un film totalement dans le sujet, et qui fonctionne plutôt trés bien, grâce à de bons acteurs, et un sujet bien traité. Une réussite.

02 - L'étoile de Bethléem (de Lotte Reiniger)


En 1921, et pendant 19 minutes, Lotte Reiniger anime un film, plutôt joli, pour raconter l'arrivée des rois mages. Et, que dire si ce n'est que c'est sacrément chiant ? Alors oui, c'est beau. Mais on s'emmerde parcequ'une fois passé l'esthétique, il n'y a plus rien. Donc évitez le, ça vaut mieux.




03 - La fée aux choux (de Alice Guy)


Mignon petit film d'une minute de 1901, La fée aux choux illustre l'idée que les petits garçons naissent dans les choux. C'est donc mignon tout plein.




04 - Une chambre à moi (de Manele Labidi)


17 minutes pour ce film de 2018. Une femme auteure ne parvient pas à finir son livre. Il lui manque une piéce à elle pour écrire tranquillement. Elle finit par la trouver : les toilettes ! Ce qui arrange moyennement son mari... A la fois drame et comédie, ce film trouve un juste milieu qui le rend trés agréable à regarder !

05 - En rachâchant (de Daniele Huillet)


En 1982, pendant 7 minutes, et en adaptant Marguerite Duras, Daniele Huillet livre ce film trés étrange, que j'avoue ne pas avoir totalement compris. Non pas dans l'histoire (un enfant ne veut plus aller à l'école, car il n'y apprend que ce qu'il ne sait pas), mais dans le projet. La façon de déclamer les dialogues, et les interprétes qui semblent nullissime, sont forcément calculés. Mais dans quel but ? Aucune idée...



06 - Olla (de Ariane Labed)

Vous avez surement déjà vu Arianne Labed. Notamment dans Assassin's Creed. Elle réalise ici, en 2019, un court de 27 minutes. On y suit Olla, qui vient d'un pays de l'est, et va retrouver Pierre, qu'elle a rencontré sur un site. Mais la vie qu'il va lui proposer n'est pas forcément ce qu'elle attendait. Avec une mise en scéne qui rappelle parfois celle de Justin Kurzel justement, elle nous livre ici un drame touchant, et parfois assez dur !




La cinquiéme partie, nommée Où va le monde ?, est une partie actuelle, puisque le sujet est, une fois de plus, assez claire : l'évolution du monde !

01 - Hameçon (de Pier-Philippe Chevigny)


Réalisé à partir de Vlogs de personnalités d'extrême droite, voici une fake news impliquant des femmes et un chantier. Ici, en 11 minutes, et en 2019, on nous montrait le ridicule de notre monde. Et la démonstration, sous forme de reportage TV, est un peu flippante. Et tout ceci est bien réel. Et tout ceci part d'une mauvaise interprétation...

02 - Product : Les circuits imprimés (de Simon Bouisson & Ludovic Zuilli)

En 2015, pour un reportage de 4 minutes, Product a suivi le chemin de production de l'étain, principal composant des puces de nos portables, entre autres. Le temps de dresser un contats : par an 152 indonésiens meurent dans les mines le produisant. Et c'est un peu flippant aussi...

03 - Fatiya (de Marion Desseigne-Ravel)


Sorti en 2018, et durant 20 minutes, ce court a droit à la présence de Lyna Khoudri (qui a impressionné dans Papicha !) pour cette histoire de femme qui va remplacer sa cousine pour un baby sitting, pendant que celle ci à un rencard. Sauf qu'elle est voilée, et va devoir faire face aux gens... et à leur bêtise. Un court assez dur par certains aspects, sans tomber dans l'excés. Un film réussit.

04 - Selfies (de Claudius Gentinetta)


Pendant 4 minutes (2018), on va ici découvrir des Selfies, redésinné et retraité, pour donner ce résultat, sous forme de petit film uniquement basé sur ces photos. Le résultat est étonnant et vaut le coup d'oeil !




05 - Clean with me (After Dak) (de Gabrielle Stemmer)


En 2018, pendant 21 minutes, on peut suivre dans ce documentaire des femmes qui réalisent des vlogs. Durant lesquelles elles se filment en train ne faire le ménage chez elles. Ce sont d'étonnants succés, mais certaines le font pour de bonnes raisons, parceque ça les apaise. Ce documentaire va étudier un peu le phénoméne. Et c'est plus intéressant que ça en a l'air.

06 - Je suis Malika (de Laurine Bauby)


Pendant 2 minutes 30 (2018), c'est plus un poéme qui est ici déclamé. Avec un joli final certes mais ça ne m'a pas vraiment touché. Je ne conseille pas vraiment de s'y attarder pour le coup.

07 - All Inclusive (de Corina Schwingruber Ilic)


Ce court de 11 minutes de 2018 présente un bateau suisse, qui abrite des séjours all inclusive. Les images son assez impressionnantes et il faut reconnaître qu'on y mettrait bien les pieds, juste pour essayer. Et ce même si tout ceci est un peu indécent...


Et pour finir, la sixiéme et derniére partie : Même pas peur. Une partie consacré au genre, mais accessible dés 14 ans. Dommage qu'elle se limite à 3 courts...

01 - Denis et les zombies (de Vital Phillippot)


Matthias emméne ses amis tourner un film de zombie dans la maison de campagne familial. Là bas, il retrouve Denis, un amis d'enfance qui va commencer à devenir trés collant. Tourné en 2015 et durant 23 minutes, ce film est putôt réussit dans son genre. On n'est pas tout à fait dans de l'horreur, mais dans la différente entre comportements honteux, et horreur véritable. Un bon film.

02 - Fais le mort (de William Laboury)


9 minutes pour ce film de 2015 qui voit un jeune homme être le cobaye de son voisin, qui créé des armes artisanals. Jusqu'à ce que ça tourne mal. Pour le coup, le concept aurait peut-^tre demandé à être un poil allongé mais ça reste pas mal du tout !




03 - Têtard (de Jean-Claude Rozec)


Trés joli court de 13 minutes, sorti en 2019, Têtard cloture parfaitement cette longue liste de films. Avec son animation de qualité, son doublage réussit, et son histoire plus ambitieuse qu'il n'y parait, voici un excellent petit film qui mérite qu'on s'y attarde, et que je vous conseille grandement de regarder si vous en avez l'occasion !



dimanche 29 mars 2020

[VoD] Human Contagion


La période est propice, donc un petit film d'infectés, ça pouvait le faire. Bon, pour le coup, il est assez raté malheureusement...

Un laboratoire pharmaceutique Londonien créé un produit destiné à améliorer nos capacités. Mais lors des essais, ça tourne mal et des espéces de zombies qui courent partout en sorte. Une seule en réchappe, et elle semble être la seule chance de sauver l'humanité...

Rester à distance des infectés, une contamination qui semble se propager à une vitesse folle, un confinement nécessaire... Finalement, on est pas si loin d'une invasion de zombies. Et ce flm aurait pû être pire. Mais en l'état, on est loin du grand film du genre. Déjà parceque s'il se trouve une huis clos pendant un bon moment, ce n'est pas vraiment ce qu'on attend d'un film de ce genre, et ça n'apporte rien. Et pour le reste, c'est trés facile.


Pas forcément mal foutu. Les effets sont crédibles, et on peu par instant y trouver un certain plaisir. Mais il y a toutes les raisons de ce dire qu'il y avait mieux à tirer, d'autant que les personnages ne sont pas inintéressant. Mais le résultat déçoit incontestablement...


Réalisé : Mark McQueen

Scénario : Bart Ruspoli

Compositeur : James Edward Baker

Casting : Craig Fairbrass, Danny Dyer, Jaime Murray, Myanna Buring...

Sortie : 2010

Durée : 1H33


samedi 28 mars 2020

[VoD] Ibiza


Ouais, des fois on ne sait pas quoi faire quand on est confiné. Alors on met un truc random sur Netflix. Là, c'est tombé sur Ibiza. Des fois on regrette...

Harper (Christian Clavier... ah non, merde, ça c'est l'autre Ibiza, là c'est Gillian Jacobs) part en voyage d'affaire à Barcelone. Du coup elle en profite pour amener ses deux meilleures amies, qui ont bien envie de goûter au mâle espagnol. Mais Harper, elle croise un DJ Bien ricain, qui va se produire à Ibiza. Du coup, elles vont aller le retrouver...

Dans le résumé, il est indiqué qu'elles vont vivre une folle aventure. Il n'y a bien qu'elles parceque moi, je me suis un poil emmerdé devant ce film convenu, qui veut se faire passer pour libéré, mais tombe réguliérement dans les clichés. Et si les trois actrices dégagent clairement une vraie fraicheur, le reste ne fonctionne pas. La photo trés "je mets du violet partout" m'a rapidement gonflé, et je ne me suis jamais attaché à ses personnages sans profondeur.


Pour autant, il se passe malgré tout des choses de temps à autres, et rien ne vient en faire un film vraiment honteux. C'est simplement peu intéressant de maniére générale. Une comédie pas vraiment libéré, qui se contente de suivre une ligne dont on voit encore les traces. Une fois fini, on se dit que finalement, on aurait préféré que le groupe croise Christian Clavier et Mathilde Seigner au passage. Là au moins ça aurait été drôle !


Réalisé par : Alex Richanbach

Scénario : Lauryn Kahn

Compositeur : Jeff Morrow

Casting : Gillian Jacobs, Vanessa Bayer, Phoebe Robinson, Richard Madden...

Sortie : 25 Mai 2018

Durée : 1H34


[Les jeux vidéos au cinéma] SiN


En 1998 sort le jeu SiN. Un FPS assez classique, qui propose une intrigue à base de cybernétique et de complot. Rien de fou mais le jeu est trés bien accueilli par la presse. En 2006, une suite en plusieurs épisodes commencent à paraître. Entre les deux, un film est, étrangement, sorti !









SiN : The movie (de Yasunori Urata... 2000)

Heureusement il s'agit plus ici d'un petit projet destiné à prolonger le jeu. Durant moins d'une  heure (57 minutes), on y suit les personnages du jeu, dans une intrigue qui colle à celle su titre original. Pour autant, on retiendra surtout une animation de qualité et un rythme bien dosé. Au delà de ça, rien à souligner de particulier, c'est respectueux, pas trop mal fichu. On est pas sur un produit cinéma, mais bien un complément tout à fait honorable, qui assume ce qu'il est : un film d'action, rien de plus, rien de moins !

Note de l'adaptation : 5/6

Note du film : 4/6




[Roman] La plus que vive


Christian Bobin a perdu sa compagne. Elle n'avait que 44 ans, et il a décidé de lui consacrer ce livre. Un trés beau livre.

110 pages pour clamer l'amour qu'il a pour elle. Pour essayer de mettre des mots sur celui-ci, essayer d'exprimer aussi une douleur qu'il ne veut pas laisser le submerger. Parcequ'elle ne l'aurait pas voulu. Je ne connais pas l'auteur, mais il faut reconnaître qu'il a une vraie façon de rendre tout cela poétique, en évoquant des instants, de courts moments de vie, qu'il chérit, et chérira à jamais. Le roman se lit vite, mais il faut en profiter. Parceque s'il parle de sa compagne, de lui, de sa vie, il peut être un vrai moyen de passer sa douleur si l'on se retrouve dans la même situation. Comme sa couverture le laisse penser, c'est un beau moment. Un moment trop court, comme une vie...


Ecrit par : Christian Bobin

Sortie : 1996

Nombre de pages : 110

vendredi 27 mars 2020

[Roman] Gwendy et la boîte à boutons


Stephen King dit qu'il avait l'histoire en tête, mais que c'est Richard Chizmar qui l'a débloqué. Malheureusement, ce livre, plaisant, ne m'a pas convaincu en tout point.

Gwendy a 12 ans et elle a marre d'être surnommé Bibendum à cause de son poids. Elle s'est mise à la course et, lors de l'une d'elle, elle croise un certain Mr Farris. Celui ci lui confie une boite comportant 8 boutons. Et un étrange pouvoir...

Et Gwendy va conserver cette boite pendant des années, en l'utilisant de temps à autres. Le tout en comprenant tout doucement qu'elles sont ses pouvoirs, et comment elle doit utiliser cette boîte. S'il y a une force à aller chercher dans cette histoire, c'est dans le fait que ce personnage n'est pas une resucée de tout ce qui se fait dans le genre habituellement. Elle se laisse corrompre nettement moins facilement, voir pas du tout, par la boite, ce qui lui donne une certaine profondeur. Et heureusement qu'elle la trouve là parceque pour le reste, l'histoire est tellement resserrée que les personnages semblent peu écrit. Les événements s’enchaînent dans ce qui s'apparent plus à une grosse nouvelle (même pas un roman court) qu'à autre chose. Une nouvelle trop longue en somme, et un roman trop court. De plus, le style des deux auteurs, même s'ils tentent de lisser au maximum, m'a semblait parfois peu compatible. Reste que ça se lit vite, et que malgré ces mauvais point, ça reste globalement plaisant à lire !


Ecrit par : Stephen King & Richard Chizmar

Sortie : 16 Mai 2017

Nombre de pages : 155

[DVD] Landru


Premier sérial killer réellement identifié en France, Landru a eu droit à de nombreux films et téléfilms. Dont celui-ci, signé Claude Chabrol...

Landru voulait avant tout pouvoir faire vivre sa femme et ses enfants, et sa maitresse. Ce qui l'amena à manipuler des femmes, récupérer leurs biens, et les tuer ensuite. Et Landru savait parler...

Et c'est ce que mettra en avant le film : la gouaille du bonhomme. Que ce soit pour séduire ces femmes (il les attire par une annonce matrimonial), mais aussi pour faire le show lors de son procés et s'attirer la ferveur populaire.. Lors de son procés, il dira notamment que, si les femmes qui l'ont connus ont quelque chose à lui reprocher, qu'elles portent plainte ! Bref, le bonhomme provoque mais ne cessera jamais, jusqu'à l'échafaud, de clamer son innocence, bien qu'il soit clairement coupable.



Pour l'incarner, Chabrol fait appel à Charles Denner, tout simplement parfait dans le rôle, avec une diction trés spéciale, mais qui en fait un rôle unique. Film écrit par une femme (François Sagan quand même !), qui semble constamment entouré de femmes, Landru a beau se payer quelques longueurs qui l'empêche d'être un chef d'oeuvre, il n'en demeure pas moins un trés bon film, reconstituant au moins l'histoire de ce personnage historique !


Réalisé par : Claude Chabrol

Scénario : François Sagan

Compositeur : Pierre Jansen

Casting : Charles Denner, Danielle Darieux, Michéle Morgan, Hildegard Knef...

Sortie : 25 Janvier 1963

Durée : 1h55



[Roman] L'oubli que nous serons


Hector Abad est Colombien. Son pére était un médecin reconnu et il nous livre ici son histoire. Celle du pére et du fils, en même temps...

En fait, à travers ce livre, c'est aussi un état de la situation en Colombie qu'il donne. Et aussi une étude de situations politiques. Car Hector Abad Sr a été assassiné alors que son fils avait 28 ans. Et ce pére, il l'aimait profondément, autant que son pére l'aimait lui. Alors il nous dresse un portrait de sa vie, de ses combats, et son envie de faire évoluer le systéme colombien. L'écriture est simple, elle relate simplement des événements, avec une façon distanciée d'en parler. On sent qu'il a eu le temps de réfléchir sur le sujet, qu'il ne dresse juste un portrait flatteur de son pére, mais qu'il en souligne les bons côtés, évoquant rapidement les mauvais, rappelant qu'ils sont aussi une partie de lui. Sans faire dans le sentimentalisme exacerbé, il parvient à offrir une oeuvre trés touchante.

Et pour ce qui est du côté politique, c'est toute la peur qui l'accompagne dans ces états où les révolutions, où les combats, se terminent souvent en assassinat. Ce livre est un témoin de cette époque, et de ce monde. Et il fait bon le lire pour s'en faire aussi une idée !



Ecrit par : Hector Abad

Sortie : 2006

Nombre de pages : 390

jeudi 26 mars 2020

[VoD] Before we go


Pour sa premiére mise en scéne, Chris Evans choisi un petit film, sorte de comédie un peu romantique, et fort plaisante en vérité !

Brooke s'est faite voler son sac, et rate son train pour Boston. Mais elle doit absolument y arriver avant son mari. Elle croise alors Nick, un musicien qui semble fuir quelque chose. Il va vouloir l'aider, mais en fait ils vont s'entraider...

Cette histoire a un avantage : celui de ne tomber que trés rarement dans les piéges du genre, préférant se concentrer sur l'aide que chacun va apporter à l'autre. Il y a visiblement quelque chose qui les rapproche, un désir de rattraper une erreur, et c'est ce qu'ils vont peu à peu découvrir, ce qui va les pousser chacun à aider l'autre à corriger cette erreur, quel que soit la façon d'y parvenir.


Si vous pensez déjà savoir quelle direction va prendre le film, vous vous trompez. Vous y trouverez probablement des points que vous aviez imaginé, mais certainement pas la totalité, ni même la finalité de ce jolie film, que l'on regarde avec un petit sourire aux lévres, tout en se disant que, si Evans ne prouve pas grand chose en tante que metteur en scéne, il a au moins choisit un bon projet pour démarrer. A une prochaine ?



Réalisé par : Chris Evans

Scénario : Ronald Bass, Chris Shafer, Jennifer Smolka & Paul Vicknair

Compositeur : Christopher Westlake

Casting : Chris Evans, Alice Eve...

Sortie : 21 Avril 2016

Durée : 1H36


mercredi 25 mars 2020

[Roman] Henderson's Boys - Tome 5 : Le prisonnier


Aprés un 4éme tome un poil longuet, retour à un format plus léger pour ce tome dans lequel o ne suite pas CHERUB, mais Marc Kilgour seul !

On se souvient en effet qu'il avait été fait prisonnier, et envoyé en Allemagne. Mais il ne tient pas plus que ça à y rester (faut reconnaitre qu'à l'époque, c'était pas trop un lieu de vacance idéal) et va donc essayer de s'échapper pour retourner auprés de CHERUB. Et voici donc globalement ce que propose cet épisode qui va vite, et pour le coup parfois un peu trop puisque certains événements semblent choisir la facilité.

Mais pas de quoi hurler à la mort, puisque globalement, ce tome est trés sympa à lire et fait même figure d'exemple à suivre en tant que littérature jeunesse. Il y a de la recherche, une véritable aventure, et Marc se rend compte qu'il a grandi. Ses sentiments changent, et il est donc toujours aussi agréable de suivre cette saga prequelle !


Ecrit par : Robert Muchamore

Sortie : 17 Octobre 2012

Nombre de pages : 444

[VOD] Guns Akimbo


Daniel Radcliffe serait  il devenu le nouvel Elijah Wood ? ça y ressemble en tout cas, le bonhomme voguant de projets improbables en projets fous...

Miles est programmeur, et il n'embête personne. Dans le même temps, une émission cartonne sur Internet, et met en avant la violence. En gros, il fait s'affronter à mort des gens. Nix enchaîne les victoires. Un jour, Miles se réveille avec des flingues cloués aux mains. Et va devoir affronter Nix...

Et de ce pitch, le réalisateur sort un pur divertissement, qui ne cherche pas vraiment à faire plus. ais en même temps, ce n'est pas vraiment à une réflexion poussée qu'on s'attendait. On retrouve parfois dans le rythme soutenu de ce film, des relents de ce que proposait le duo Neveldine/Taylor, notamment dans Hyper Tension, mais aussi dans Ultimate Game, des films eux mêmes assez fous. Rien de novateur en soi, mais une joie de réaliser, et une envie de divertir trés claire.


Aidé par son duo Daniel Radcliffe/Samara Weaving (devenu aussi un gage de qualité ces derniers temps), le film nous offre quelques séquences de pure folie. Et si ça en effet un gros bis qui tâche, tant mieux. Alors certes, ça ne restera pas un film majeure de la filmographie de l'ex-Harry Potter, mais si vous cherchez un petit plaisir, peut-être même coupable, tentez le, ça vous fera passer un bon petit moment !


Réalisé par : Jason Lei Howden

Scénario : Jason lei Howden

Compositeur : Enis Rotthoff

Casting : Daniel Radcliffe, Samara Weaving, Rhys Darby, Ned Dennehy...

Sortie : 23 Mars 2020

Durée : 1H38


mardi 24 mars 2020

[Série] Keeping Faith (L'intégrale - 2 saisons)


Thriller gallois débarqué avec force promotion sur Amazon Prime, Keeping Faith n'est pas aussi bon que je l'aurais cru...

Faith doit faire face à la disparition de son mari. Mais elle ne va pas s'en contenter et va commencer à enquêter sur celle ci, et découvrir nombres de secrets...

Keeping Faith est une bonne série, mais sa fin au bout de saison s'explique facilement : le concept même fait qu'elle va vite finit par tourner en rond. Et c'est ce qui se passe. Aprés une seule saison, on se demande déjà où elle va bien pourvoir aller. Les épisodes qui suivent ne sont pas désagréable pour autant, ils sont juste peu intéressant et la durée de 52 minutes se fait grandement ressentir.


Alors on en se plaindra pas de la fin de cette série plutôt bonne, mais qui aurait pû être bien meilleure si elle avait accepter de s'écarter de sa base, une fois celle ci épuisée...

Créée par : Matthew Hall

Casting : Eve Myles, Bradley Freegard, Demi Letherby, Lacey Jones...

Diffusée de : 2017 à 2018

Durée : 14 épisodes de 52 minutes