lundi 30 septembre 2019

[Série] BONDiNG (Saison 1)


Cette, trés courte, premiére saison de BONDiNG, donne envie d'en savoir plus. Et aborde des thémes intéressants...

Tiffany est étudiante la journée. Le soir, elle est maitresse SM. Son ami Pete se retrouve entrainé dans son monde, bien malgré lui...

Inspiré à Rightor Doyle par sa propre histoire, la série à l'avantage de rapidement poser son ambiance, son univers, et de nous laisser découvrir ensuite différentes situations. Cependant, on aurait apprécié que les personnages gagnent en développement, ce que ne permet par vraiment la durée et le faible nombre d'épisodes. De plus, il faut être honnête, la série devient vite banale quand elle sort de l'univers du SM.


Mais il faut bien dire qu'on peut aussi apprécier le visuel de la série, et le rythme assez rapide de celle ci. Pour ma part, j'en retiens un bon petit moment, et je ne dirais pas non à une deuxiéme saison...



Créée par : Rightor Doyle

Casting : Zoe Levin, Brendan Scannell, Kevin Kane, Micah Stock...

Diffusée en : 2019

Durée : 7 épisodes de 14 à 17 minutes


[Retro Alexandre Aja] Furia


Alexandre Aja a démarré sa carriére en secondant son pére, Alexandre Arcady, sur divers tournages. Et, il y a une vingtaine d'année, il a eu la possibilité de mettre en scéne son premier long métrage...

Inspiré d'une nouvelle, celui ci se déroule dans un futur (de moins en moins improbable) où la France est un état totalitaire. Théo peint sa vision de la liberté sur les murs et rencontre Elia, dont il tombe amoureux...

En démarrant sur un principe d'anticipation, le film explore un territoire que le réalisateur n'a plus retrouvé (ni recherché je pense), depuis. Et si son premier long manque clairement de maîtrise sur certains points (les comédiens ne sont pas toujours juste, le scénario traine parfois les pieds), il développe tout de même quelque sujets intéressants, notamment la possibilité d'être rebelle et amoureux, mais aussi la peur qui s'ensuit.



Il faut reconnaître au réalisateur et son équipe la faculté de mettre en place un monde crédible et de savoir choisir des décors parfaitement raccord. Et aussi d'avoir su voir juste concernant le casting, et notamment par le biais d'une jeune actrice qui ne comptait alors que quelques seconds rôles dans sa filmographie : Marion Cotillard. Pour le reste, si le résultat est bancal, il reste un premier essai pas honteux, laissant entrevoir des qualités chez le jeune réalisateur !


Réalisé par : Alexandre Aja

Scénario : Alexandre Aja & Gregory Levasseur inspiré d'une nouvelle de Julio Cortazar

Casting : Stanislas Merhar, Marion Cotillard, Wadeck Stanczak, Pierre Vaneck...

Sortie : 09 Août 2000

Durée : 1H40




[Test PSOne] Demain ne meurt jamais


Je vous parle de beaucoup de jeux sur PS4 ou Switch. Mais parfois, j'aime jouer à des jeux plus anciens. Et comme il y a de moins en moins d’adaptation de films...

Alors bon, ce type de jeu a rarement donné des chefs d’œuvres. Voir trés rarement. Quasiment jamais en fait. Mais moi j'aime bien les découvrir. Demain ne meurt jamais est une pure adaptation. Pour appâter, on retrouve donc le générique du film, ainsi que les voix françaises. et surtout des missions en lien avec celles du film. Là où le bas blesse, c'est que les missions durent à peine une dizaines de minutes, et qu'il n'y en a que 10. Autant vous dire que le jeu se termine trés vite, d'autant plus qu'il est assez facile.


On passera sur la modélisation, l'époque étant ce qu'elle était, pour revenir sur ce que demande le jeu : avancer en tirant plus ou moins dans le tas. Heureusement, il y a une séquence en voiture et deux en skis. Une diversité pas forcément remarquable mais intéressante. L'usage des gadgets est conditionné aux situations mais, force est de reconnaître que, côté ambiance, on s'y retrouve à peu prés. Pas forcément désagréable, voici un jeu bien moyen que l'on oubliera aussi vote qu'on l'a fini...





dimanche 29 septembre 2019

[Parlons peu, parlons box] Mille et un livres (Septembre 2019)


Pour la premiére fois, je vous présente une box Mille et un livres, et autant dire que ça a de la gueule !










Le roman est donc Falalalala et en voici le résumé : "Chez les Tannenbaum, on est petit. Trois générations d’achondroplases, soit sept naines, gèrent ensemble Tannenland, le paradis réduit des animaux miniatures. Deuxième curiosité alsacienne après la cathédrale de Strasbourg, experte ès Bredele et productrice des meilleurs shows de Noël de la région, cette famille n’a rien d’ordinaire. Sauf peut-être Richard, 19 ans, le seul garçon de la tribu. Le seul grand, aussi. L’exception à la règle, la mouche dans le lait. Tout aurait pu néanmoins rester ainsi, si… Si le coeur de Lulu Tannenbaum, 16 ans, ne s’était pas déglingué. Si la Syrie n’était pas en guerre. Et si Hervé Vilard était juste un chanteur."



[Cinéma] Au nom de la Terre


Avec ce film, Edouard Bergeon, autant qu'il rend hommage à son pére, parle du monde agricole, de son évolution...

Pierre Jarjeau est de retour des Etats-Unis. Et il va reprendre l'exploitation de son pére. Rapidement, il décide de la faire évoluer, pour mieux répondre aux besoins du marché. Mais cela va vite le fatiguer...

Entre le monde de nos parents, de nos grands parents, il y a d'énormes différences. Et souvent pas pour le meilleur. Ce film met en avant la difficulté, pour un petit agriculteur, aujourd'hui, de parvenir à en vivre malgré le travail fou abattu. Et on va ainsi suivre, tout au long du film, la longue descente dans la dépression de ce personnages qui va se faire dévorer par son travail.


Ou plutôt "personne" que "personnage" puisqu'il s'agit de l'histoire du pére d'Edouard Bergeon. Une histoire retranscrite avec ses libertés mais qui se suit avec un intérêt certain, et avec un effroi qui l'est tout autant. Car il y a aussi un véritable amour qui transparait dans cette oeuvre. Amour d'un enfant pour un pére qu'il a vu se détruire tout doucement. Et donc un film aussi important qu'intéressant !


Réalisé par : Edouard Bergeon

Scénario : Edouard Bergeon, Emmanuel Courcol & Bruno Ulmer

Casting : Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon, Rufus...

Sortie : 25 Septembre 2019

Durée : 1H43




[DVD] La maison des damnés


On trouve, dans certains films des années 70, un charme qu'on ne retrouve plus aujourd'hui. Surtout dans un genre comme celui de la maison hantée...

Un couple de physicien, un médium et un type ayant survécu décide de percer les mystéres d'une maison hantée...

Et voici le pitch, tout simple, d'un film dont l'ambiance va parvenir à tout faire. Car le scénario pourrait être jugé faiblard mais va en fait suffire à rendre cette maison inquiétante, grâce aussi à une photo superbe, rendant plus couleurs plus belle, plus frappante, pour surprendre encore plus par l'aspect horrifique de cette oeuvre, certes un peu lente, mais trés réussit !


En outre, le film a l'avantage d'un casting bien vu, composé de certains acteurs habitués du genre. Et d'un metteur en scéne lui aussi versé dans le genre depuis longtemps. Tout concours donc à faire de ce film un des fleurons du genre, bien plus convaincant que nombres de films du moment sur le sujet...


Réalisé par : John Hough

Scénario : Richard Matheson d'aprés son propre roman

Casting : Pamela Franklin, Roddy McDowall, Clive Revill, Michal Gough...

Sortie : 15 Juin 1973

Durée : 1H35




samedi 28 septembre 2019

[I read game] Darksiders

Chapitre 13 - Partie 3


De nouveau dans une grande salle, plusieurs chemins s'offrent à War. Mais sa décision va être forcé par l'apparition d'une étrange créature. Sorte de serpent volant à la tête de démon des enfers, il sort d'un portail et emprunte un tunnel de pierre. War s'élance à sa poursuite jusqu'à le rattraper. Le serpent s'élance alors vers les cocons et les ouvre. Contre toute attente, ce sont bel et bien des anges qui en sortent et qui attaquent War en même temps que le serpent. Celui ci n'en fait qu'une bouchée, découpant les anges, et tranchant le serpent aprés seulement quelques coups pour le déstabiliser. Au fond de la salle se trouve une porte plutôt banal qu'il ouvre.

Il arrive dans une grande piéce. Le sol est fait de planche en bois et n'a pas l'air trés stable. La lumiére du jour ne passe qu'entre les planches scellés aux fenêtres. Avançant, sur ses gardes, dans la salle, le cavalier se sent observé. Et une voix, légèrement sifflante, se fait entendre...


- Tu m'honores de ta présence, Cavalier. On raconte tellement... d'histoires à ton sujet. Tu as réussi à tuer trois des Elus. Pris leur coeur. Inquiétant...


Il sent alors une présence dans son dos. Du coin de l'oeil, il aperçoit une énorme araignée. Sans se retourner, se sentant peu menacé pour l'instant, il laisse parler Silitha, car c'est bien d'elle qu'il s'agit :


- C'est pour ça que tu es ici ? Pour éliminer le dernier gardien de la tour ? Pour m'arracher le coeur ? Est-ce que Samael t'a réellement tout raconté dans les moindres détails ? Pourquoi sa maudite puissance bat dans notre poitrine ? Ce n'est pas la tour que les Elus protègent, Cavalier. Notre mission est d'empêcher le retour de Samael, à n'importe quel prix. Tu peux me tuer, et ensuite rapporter mon cœur à Samael. Mais alors, il constituera une menace plus grande que tous les Elus... réunis.


Ennuyé par les paroles de l'arachnée, et par toute cette histoire, il sort son arme et se prépare malgré tout à affronter la créature.


- Je ne suis pas venu écouter tes conseils, araignée. Ni tes histoires.

- Mes enfants danseront avec joie au rythme entrainant de tes cris !


Et alors que le combat s'engage, la passivité de l'araignée surprend le cavalier qui n'a aucun problème pour lancer son grappin qui s'attache à une mandibule, et il vient frapper la bestiole à plusieurs reprises. Mais au moment où la gravité reprend ses droits et qu'il retombe au sol, l'araignée disparaît et réapparaît au dessus de lui. Elle tombe alors pour l'écraser. Heureusement, les réflexes du cavalier lui permettent de l'éviter mais elle disparaît de nouveau pour revenir derriére lui et le frapper de ses crochets. Silitha semble se reposer uniquement sur ses téléportations successives. Plus que de forces, c'est d'endurance dont fait preuve le guerrier qui enchaine les esquives, et lance son grappin dés qu'il a une ouverture, pour ruer de coup l'immonde bête. Finissant par se fatiguer, celle ci grimpe au plafond, se pendant hors de portée du cavalier, pour récupérer. Rien de bien gênant pour War, qui lance de nouveau son grappin et parvient à atteindre son abdomen. Qu'il rue de coup jusqu'à ce qu'elle se décroche et chute, brisant le sol de bois et dégringolant plusieurs étages avant d'aller s'emplaer sur une roche plus bas. Retombant à côté d'elle, le cavalier n'hésite pas à finir le travail en lui arrachant le coeur.


S'étant fait oublier jusque là, Le guetteur refait son apparition...

- Samael attend le dernier coeur. Tu crois qu'il te laissera vivre assez longtemps pour arriver à tes fins ?


L'ignorant, War reprend sa route pour amener le coeur à Samael...

[Cinéma] Une fille facile


En voilà un film pour lequel je nourrissais des espoirs... et qui m'a pas mal déçu. Même s'il a quelques bons points...

Naïma a 16 ans. Et alors qu'elle a quelque projet avec son ami Dodo, sa cousine Sofia vient lui rendre visite. Et elles vont rencontrer deux types vivant sur un bateau...

A partir de là, on comprend les ambitions du film. Naïma va être tenté par le mode de vie de sa cousine, profitant des services d'hommes bien plus riche qu'elle. Le probléme, c'est que le film aborde un tas de sujets, mais ne va que rarement au bout, ou alors bâcle la conclusion (l'histoire avec Dodo par exemple). Et au final, si on doit reconnaître que la réalisation, et la photo, ont leur charme, il y a d'autres problèmes...


Le toujours trés bon Benoit Magimel côtoyant Nuno Lopes, la jeune et convaincante Mina Farid, ou encore, rapidement, Clotilde Courau. Reste un point, qui détruit une bonne partie du film : la performance de Zahia Dehar (qu'on pourrait surnommé "Plastic Woman"...), tout simplement médiocre. Pas actrice pour un sous, elle déclame son texte tel une enfant à une représentation de fin d'année de l'école. Sans émotions, sans le ton adéquat, elle nous sort constamment du film. Un point trés gênant qui finit de faire du film une oeuvre tout juste moyenne, sauvé par quelques moments, quelques scénes, qui lui apporte des qualités...



Réalisé par : Rebecca Zlotowski

Scénario : Rebecca Zlotowski & Teddy Lussi-Modeste

Casting : Mina Farid, Zahia Dehar, Benoit Magimel, Nuno Lopes...

Sortie : 28 Août 2019

Durée : 1H32




[Test PS4] Red Dead Redemption 2


Soyons clair dés le départ : Si j'avais attendu fiévreusement ce Red Dead Redemption 2, ça aurait été une grosse déception. Mais n'ayant pas autant encensé le premier que beaucoup, je en suis finalement pas trés surpris...

Alors que l'on soit clair : je peux tout à fait comprendre que beaucoup soient impressionné. En fait, votre amour pour ce jeu dépendra de ce que vous attendez d'un jeu vidéo, de la définition que vous en fait. A mes yeux, Rockstar avait déjà emprunté une mauvais voie avec GTA 5. Trop narratif, au détriment du gameplay, il m'avais déjà passablement ennuyé. En poussant cette direction à l'extrême avec ce titre, l'équipe se plante totalement selon moi. Alors, il faut bien le dire, le travail sur la reconstitution de l'époque est bluffant. L'univers est tout ce qu'il y a de plus crédible, la recherche des détails est impressionnante, le jeu magnifique, et, si on cherche quelque chose de contemplatif, il y a de quoi se faire sacrément plaisir, tout comme si on cherche un jeu long, les activités et possibilités de missions et recherches annexes étant ultra nombreuses.


Mais si on entre dans ce qui fait d'un jeu un jeu, c'est à dire le gameplay en premier lieu, il y a un soucis. Les possibilités sont nombreuses, certes, mais les personnages sont lents et lourds, les gunfights peut précis (comme les armes de l'époque, certes, mais est-ce plaisant ?) et les bugs nombreux aussi. La narration ? Étalée sur bien trop d'heures, elle perd de son impact et ne m'a jamais entrainée avec elle. L'aventure principale ressemble à un tutoriel bien trop long et, trés franchement, j'avais parfois l'impression de jouer à un jeu Telltale, en plus beau. Et malheureusement, ce n'est pas ce que je recherche dans un jeu. Et bien que je puisse apprécier une bonne histoire, le mélange de narration et de gameplay ne fonctionne que trop rarement ici. Si les productions Quantic Dream et Telltale (voir DontNod) assument qu'elles sont des expériences narratives interactives, elles savent choisirent leurs camps, malgré leurs défauts. Objectivement, Red Dead Redemtpion 2 a bien moins de défauts... mais ne sait pas choisir son camp. Le résultat est totalement bancal, et m'a profondément ennuyé...



vendredi 27 septembre 2019

[Roman] L'assassin royal - Tome 7 : Le prophéte blanc


Aprés 6 tomes, L'assassin royal avait cédé sa place aux Aventuriers de la Mer. Mais revoici Fitz, 15 ans plus tard !

Car oui, 15 ans ont passés depuis que les pirates rouges ont été repoussés. Fitz a décidé de s'isoler, avec Oeil-de-nuit, et a recueilli un orphelin, Heur, qu'il considére comme son propre fils. Il n'a plus aucun contact avec ceux qu'il a connu, hormis Astérie qu'il revoit de temps en temps. Tout du moins jusqu'à ce qu'Umbre vienne le chercher pour enseigner l'Art à Devoir, le fils de Kettricken...

Ce premier tome reste uniquement introductif. Il revient ainsi sur de nombreux événements des tomes précédents pour resituer le lecteur, et se contente de lancer les éléments de ce qui va venir. Il introduit quelques rares nouveaux personnages et se montre toujours aussi agréable à lire. Finalement, seul son statut d'introduction l'empêche d'être vraiment au niveau des précédents. Car au delà de ça, il est plaisant de retrouver un univers connu et de s'y replonger, en découvrant les quelques changements qui ont été apporté à des lieux déjà visité. Et, par quelques touches, on sent poindre une aventure à venir prenante et, peut-être, fort sombre. A confirmer dans la suite !


Ecrit par : Robin Hobb

Sortie : 10 Mars 2003

Nombre de pages : 352

[Cinéma] Demain est à nous


Aprés Mia et le lion blanc l'an dernier, Gilles De Maistre revient avec un documentaire. Qui s'attarde sur des enfants qui pourraient bien faire évoluer notre monde...

Démarrant sur José, un jeune enfant péruvien qui a créé une banque récupérant des déchets contre d el'argent pour les plus jeunes (leur permettant de vivre un peu à l'abri du besoin), le film va ensuite s'attarder sur Aissatou (militant, en guinée, contre les mariages précoces), Arthur (jeune cambraisien qui vend ses toiles et se sert de l'argent pour acheter à manger et du confort pour les SDF), Ina (qui nourrit un journal pour enfant en Inde) ou encore Kevin (qui oeuvre dans un syndicat pour enfant qui lute pour que les enfant travailleurs soient reconnus... comme travailleur, et plus exploités). Plusieurs destins mis en avant donc, et qui font espérer pour un monde meilleur.


Le film pointe aussi du doigt certain problémes lié à ses enfants (on accuse les parents de les manipuler, de les utiliser, voir le cas Greta Thunberg, évoqué bien entendu dans le film), mais souligne leurs idées, qui peuvent paraitre naïves dans notre monde mais peuvent aussi être de vrais réussites si on les accompagne. Un film qui mérite d'être vu, si ça peut aider à écouter des enfants bien plus ouvert que nous sur de nombreux points !


Réalisé par : Gilles de Maistre

Sortie : 25 Septembre 2019

Durée : 1H24




[Test PS4] Conan Exiles


A la base, j'étais emballé moi par ce Conan Exiles. Mais au final, je dois avouer avoir été trés déçu par le résultat...

Et ce dés le départ. Car aprés une création de personnage déjà moyennement ergonomique, le jeu s'ouvre sur un monde qui semble intéressant, mais qui s'avére vite extrêmement vide. De plus, le concept de survie au coeur du jeu manque d'explications. Que ce soit seul ou en multijoueur, les premiéres parties sont franchement laborieuse et peuvent décourager. ais une fois compris... on constate surtout les limites techniques du jeu (pas bien beau, animation désastreuses...) et le fait que tout cela reste trés trés limité.


Il y avait clairement bien mieux à faire de l'univers de Robert E. Howard, qui est ici bien trop peu exploité pour convaincre vraiment. Et au final, il ne faut guére que quelques heures avant de passer à autres choses, déçu de ce jeu au concept qui trouve vite ses limites...



jeudi 26 septembre 2019

[Série] This is us (Saison 1 & 2)


Je n'y croyais pourtant pas, mais This is us est une des plus belles séries que j'ai pu voir ces derniéres années...

Jack et Rebecca Pearson s'aiment. Et ils vont avoir des enfants. 3. Le même jour. La série va suivre, d'un côté, cette famille, et de l'autre la vie des enfants une fois qu'ils seront adultes...

A priori, rien de bien nouveau mais la série a un angle d'attaque, un sujet : l'amour. L'amour d'un pére ou d'une mére pour leurs enfants, mais aussi l'inverse. Et l'amour d'un couple. Car c'est bien ce qui ressort de toute la série. Une famille qui s'aime, et des gens qui sont donc prêt à beaucoup pour les autres membres de cette famille. On ne peut qu'être touché par tout ce qui peut leur arrivée. Et ce qui est fou, c'est que la série n'en fait pas trop.


Les Pearson vivent des événements que l'on pourrait tous vivre et la série a l'avantage de bénéficier d'un casting tout simplement excellent de bout en bout. Alors si on peut être sceptique en lançant la série, on ne peut qu'être conquis à la fin. Tout du moins des deux premiéres saisons !


Créée par : Dan Fogelman

Casting : Milo Ventimiglia, Mandy Moore, Justin Hartley, Chrissy Metz...

Diffusée de : 2016 à 2018

Durée : 36 épisodes de 42 minutes


[Cinéma] Le dindon


Adapté d'une piéce de Georges Feydeau, Le Dindon, sans être honteux, n'est pas franchement la comédie attendue...

Monsieur De Pontagnac suite une femme de la rue. Elle s'appelle Victoire et elle lui plait beaucoup. Il découvre rapidement qu'elle est mariée à un des ses amis : René. Au dessus de ça vont venir se greffer divers personnages...

A partir de là, comme dans la piéce, on a le droit à peu de décors, et un film essentiellement basé sur des mensonges, malentendus et autre humour de la sorte. Ce qui fonctionne pendant un temps mais peut finir par lasser au bout d'un certain moment. Et ce bien que le film soit court et le casting intéressant, mais les performances aléatoires. Il faut dire que la façon de déclamer le texte varie selon les acteurs.


Peut-être un manque de direction donc, d'autant que la mise en scéne est assez plate, ce qui rend parfois le film assez lent alors qu'il n'est déjà pas bien long. Il faut en outre reconnaitre que certains aspects de l'histoire ont vieillis et ne rendent pas forcément hommage aux personnages. Le résultat est donc franchement mitigé...


Réalisé par : Jalil Lespert

Scénario : Jalil Lespert, Guillaume Gallienne & Fadette Drouard d'aprés la piéce de Georges Feydeau

Casting : Dany Boon, Guillaume Gallienne, Alice Pol, Ahmed Sylla...

Sortie : 25 Septembre 2019

Durée : 1H25





[Test PSVR] Legends of Catalonia : The land of Barcelona


L'idée est bonne : Parler de l'histoire de la catalogne par le biais d'un jeu en VR. Le résultat... laisse à désirer...

Aprés une bonne présentation, on choisit ainsi son guide, chacun nous parlant d'un aspect de la catalogne. Parmi eux, Carles Puyol notamment. Et à partir de là, on a droit à quelques mini jeu pas franchement bien foutu, d'autant que, graphiquement, le jeu est assez laid. En plus de ça, on en fait le tour en à peine une trentaine de minutes. Alors, certes, c'est gratuit, mais il faudrait voir à ne pas nous faire perdre notre temps non plus...




mercredi 25 septembre 2019

[Mini-série] Sunderland : Envers et contre tous


Le foot semble être devenu un sacré terrain pour les séries documentaires. Sergio Ramos, Raphael Varane, La Juventus ou Arsenal y ont eu droit, le RC Lens va avoir la sienne. Et donc Sunderland ?

Ex club reconnu en Angleterre, Sunderland a coulé ces derniéres années, se retrouvant même en League One (la 3éme division anglaise). Cette mini-série suite justement la derniére descente du club. On y voit les difficultés liées au recrutement, à la présidence du club, les décisions difficiles à prendre... Si on pourra souligner quelques facilités et un vocabulaire parfois peu footballistique, les 8 épisodes se suivent malgré tout avec un vrai intérêt. Et pour une fois qu'on ne nous impose pas une classique success story. On suivra aussi les supporters, impliqués mais ça ne donnera pas forcément toujours une bonne image des supporters en général... Reste que les amateurs de foot peuvent regarder, c'est intéressant !





Diffusée en : 2018

Durée : 8 épisodes de 40 minutes


[Cinéma] Rambo : Last blood


Aprés John Rambo, on pensait bien qu'aucun 5éme opus n'était nécessaire. Ce que confirme ce film, pourtant pas mauvais...

John Rambo est revenu aux Etats Unis. Et il vit dans une petite maison entouré d'un grand terrain ou, entre autre, il éléve de chevaux et se comporte comme un pére avec Gabrielle, une jeune fille que son pére a rejeté plus jeune. Lorsqu'elle disparaît au Mexique, il va aller la rechercher...

John Rambo cloturait parfaitement l'histoire du personnage. Alors une fois sorti de cet opus, on a l'impression de l'épisode de trop, c'est sûr. Mais pour autant, ça ne sent pas non plus le projet à 100% commercial. Car toute l'introduction, jusqu'au traumatisme, concours à une seule chose : que Rambo finisse par recréer son vietnam, celui dont il ne parvient à se débarrasser, quitte à nous balancer des dialogues un peu lourd parfois.


Alors si Stallone reste convaincant, que le film reste violent, et que tout cela à été justifié dans le film précédent, et que globalement on ne s'ennuie pas, on ne découvre rien de nouveau sur le personnage. Et cette aventure ne lui apporte pas grand chose non plus. Au final, si lui en sort satisfait et clot son histoire, nous en sortons un peu déçu, bien que le film soit d'une bonne tenue...


Réalisé par : Adrian Grunberg

Scénario : Matt Cirulnick & Sylvester Stallone

Casting : Sylvester Stallone, Paz Vega, Sergio Peris-Mencheta, Adriana Barraza...

Sortie : 25 Septembre 2019

Durée : 1H40