En 2001, Red Faction fait sensation. Ce FPS se déroulant sur Mars et mettant aux prises des rebelles face à la corporation Ultor a un avantage : la destruction d'une grande partie de son décor est possible et le jeu s'en sert bien. En 2002, la suite sera bien moins bien accueilli. Jusqu'en 2009, la saga disparait, mais revient donc sous la forme d'un titre en monde ouvert et à la troisiéme personne. Malgré une répétitivité certaine, le jeu est globalement réussit. En 2011, une nouvelle suite déçoit avec un titre à la troisiéme personne, mais bien plus fermé cette fois. Un autre titre sort la même année : un spin off sous forme de jeu de course à budget réduit. Le jeu a eu droit, la même année, à son film...
Red Faction : Origins (de Michael Nankin... 2011)
Produit par nos amis de Syfy, le film souffre des tares habituelles de la chaîne : vouloir faire de la SF avec un budget inférieur à un drame intimiste. Le résultat laisse donc à désirer dés qu'il s'agit de montrer des effets spéciaux. Passant au delà de ça, on suit Jake Mason, persuadé d'avoir retrouvé des traces de sa soeur disparu. Jake est le dernier descendant d'Alec (pourquoi Origins donc ?, Alec étant le héros de Red Faction Guerilla...), ce qui fait le lien avec les jeux. Et si on retrouve une ambiance proche de la franchise vidéoludique, le film parvient tout de même à se montrer ennuyeux par moment. Reste qu'on a connu bien pire, et qu'il respecte les bases de la franchise. Un complément dispensable, mais pas honteux...
Note du film : 3/6
Note de l'adaptation : 4/6
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