jeudi 31 octobre 2019

[Série] Modern Love (Saison 1)


8 épisodes, 8 histoire pour cette série racontant de jolies histoire, et qui vaut le coup d'être vue donc !

En se basant sur de petites histoires lus dans des journaux, l'équipe développe donc ici de courts épisodes d'une trentaine de minutes racontant des histoires d'amour en tout genre. Souvent touchante, souvent assez fraiche, elles profitent en outre d'un excellent casting. Cependant, comme toute anthologie, un ou deux épisodes sont en dessous du niveau général. Léger pour justifier qu'on puisse ne pas la regarder.


Car en effet, j'ai passé un trés bon moment devant ce sympathique programme, qui m'a parfois amusé, parfois touché, et qui m'a en tout cas toujours agréablement occupé. Je vous la conseille donc sans probléme !


Créée par : John Carney

Casting : Anne Hathaway, Dev Patel, Tona Fey, Andrew Scott...

Diffusée en : 2019

Durée : 8 épisodes de 30-35 minutes


[Cinéma] Les municipaux : trop, c'est trop !


Ils vous avaient manqués Les Municipaux ? Mais si, avouez le ! Sinon pourquoi en faire un second ? Ce serait illogique non ?

On retrouve Gilbert et Christian, nos 2 municipaux, qui vont être confrontés à deux soucis majeurs : le mariage de Gilbert et le licenciement à venir de 30 employés municipaux !

Et de ce pseudo-pitch, les Chevaliers du Fiel vont nous livrer une "comédie" d'1h39 (temps réel. Le ressenti se situe environ à 3 ans, 254 jours, 14 heures, 5 minutes et 12 secondes), qui m'a fait rire, ou sourire, environ 0 fois. Ce qui pourrait poser la question de mon humour... si des rires avaient retenti dans la salle. Mais non. Aucun. Nada. Alors déjà que c'est trés décousu, si en plus rien n'est drôle, tellement les blagues sont déjà vu, ou facile, et qu'en plus la mise en scéne est... inexistante, difficile de sauver le film.


Je pourrais au moins essayer... si le fond n'était pas aussi mauvais que la forme ! Car pour rire des Municipaux, on peut. Mais de là à se moquer de cette maniére de situations qui, aujourd'hui, sont de vrais problématiques sociales, ou de questions de santé, il faut savoir le faire. Or, ici, on peut soit même se sentir moquer. Ce qui est fortement problématique... Et me permet donc de place une nouvelle fois une note minimale...


Réalisé par : Francis Ginibre & Eric Carriére

Scénario : Eric Carriére

Casting : Eric Carriére, Francis Ginibre, Bruno Lochet, Sophie Mounicot...

Sortie : 23 Octobre 2019

Durée : 1H39




[Test PS4] Crash Team Racing Nitro-Fueled


Aprés un remake de la trilogie originale qui fait partie des plus réussit du genre, les fans ont réclamés un remake de Crash Team Racing. Alors le voici et... Whaou !

Parcequ'à mes yeux, ce jeu surpassait Mario Kart. Et je le préfére toujours. Alors le voir sortir dans une version magnifique (certains niveaux, notamment le Parc Coco, sont à tomber !), et qui se permet en outre de rajouter des options bien vus, des personnages, tout en adaptant parfaitement le gameplay pour qu'on y retrouve les sensations... quel bonheur ! Alors certes, on pourra lui reprocher une durée de vie un peu légére en solo, mais pour le reste tout y est.


Des skins, des autocollants pour le véhicule, les modes CTR et reliques pour les plus acharnés qui visent le 100% et un boss de fin toujours aussi dur. Les amateurs y retrouveront tout, dans un remake tout simplement parfait. Alors n'hésitait pas, vu le prix, c'est presque cadeau !



mercredi 30 octobre 2019

[Musique] We are not your kind



Le retour de Slipknot était attendu depuis longtemps. Surtout aprés un dernier album de franchement bonne qualité. Alors, le groupe fait-il bouger les têtes ?

S'il sera compliqué pour l'instant de dire si certains titres atteindront le niveau de notoriété de certains morceaux du groupe, force est de reconnaitre que la maitrise est de la partie. Aussi bien de la part de la partie musicale que du chant de Corey Taylor, s'autorisant comme souvent des passages chantés de bon aloi. 14 titres et un album assez long en réalité, qui fait tout autant plaisir quand il s'essaie à d'autres directions, et qu'il surprend. Et si tout n'est pas parfait, on retrouve clairement Slipknot. Et avec plaisir !


Tracklist :

01 - Insert Coin
02 - Unsainted
03 - Birth of the cruel
04 - Death because of death
05 - Nero forte
06 - Critical darling
07 - A liar's funeral
08 - Red flag
09 - What's next
10 - Spiders
11 - Orphan
12 - My pain
13 - Not long for this world
14 - Solway Firth




[Cinéma] Terminator : Dark Fate


Et voilà. La fameux "vrai Terminator 3". James Cameron ayant participer à la mise en place de ce qui s'annonce comme une nouvelle trilogie, on pouvait y croire. Ou pas au vu de la bande annonce...

Sarah Connor a sauvé l'humanité. Skynet, c'est fini. Et pourtant, voilà qu'un Rev-9, un nouveau Terminator, débarque et veut tuer Daniella Ramos. Qui sera aidé aussi par Grace, une humaine améliorée venu elle aussi d'un futur apocalyptique...

A partir du moment où on conçoit ce film comme une suite au second, mais aussi comme un film d'une nouvelle époque, on peut apprécier cette oeuvre qui, si elle convoque des figures culte des films originaux (Sarah Connor donc, ainsi que le T-800), s'en distingue en créant de nouveaux personnages, eux aussi intéressant, et pertinent dans un contexte où on voit l'IA différemment. Alors certes, les scénes d'actions ne sont pas trés bien filmés, et les effets visuels laissent souvent à désirer. Mas malgré cela, on tient un divertissement plus qu'honorable.


Il lorgne peut-être un peu trop vers le passé (au point de faire un peu "remake" parfois) et rate quelques excellentes idées. Malgré tout, difficile de ne pas retrouver un vrai plaisir à le regarder. Et de souligner la performance d'un Schwarzenegger trop vite raillé dans les critiques. Le bonhomme serait trop monolithique et peu impliqué. A ceux-ci on demandera de revoir les précédents films et de se rappeler de ce qu'est le T-800. Pour le reste, oui, ce Terminator est une suite acceptable et je demande à voir la suite, qui pourrait être fort sympathique !


Réalisé par : Tim Miller

Scénario : David S. Goyer, Justin Rhodes & Billy Ray

Casting : Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Mackenzie Davis, Gabriel Luna...

Sortie : 23 Octobre 2019

Durée : 2H09


[Test PS4] Horizon : Zero Dawn


On pouvait se demander si Guerilla se détacherait un jour de Killzone. C'es chose faite. Et autant dire que le nouveau jeu du studios (ouais bon, 2017 mais je suis à la bourre) est de grande qualité !

Fini les Helghasts donc, On prend ici le contrôle d'Aloy, une paria dans un monde qui a visiblement subit une apocalypse et dans lequel la nature a repris ses droits, en faisant corps avec la technologie robotique. Une premiére qualité du jeu : une direction artistique de qualité donnant un résultat tout simplement unique. Le jeu étant en plus trés beau, on peut en profiter à 100%. Dans ce monde ouvert, on devra effectuer des missions, qui donneront de l'XP, qui permettra de débloquer des compétences et donc de progresser, tout en achetant des équipements. Rien de nouveau sous le soleil mais les affrontements ont une sacré pêche et on avance avec plaisir.


D'autant que le jeu n'est pas si simple et qu'il y a de nombreuses missions annexes. Et ce alors que le jeu est déjà pas mal long à l'origine ! De quoi se faire largement plaisir, surtout si on y ajoute le DLC, à peu prés aussi bon et offrant encore quelques heures de jeu en plus !



mardi 29 octobre 2019

[Les jeux vidéos au cinéma] The king of fighters


Série de jeux lancé en 1994, The King of Fighters compte aujourd'hui 14, et bientôt 15, épisodes principaux. Considéré par certains comme le meilleur jeu de combat, devant Street Fighter, la saga posséde son lot de personnages cultes mais n'a jamais brillé par un scénario ultra développé. Ce qui peut expliqué le peu d'adaptation de ces jeux...








The king of fighters (de Gordon Chan... 2011)

Alors je veux bien être compréhensif, à l'écoute, et tout ce que vous voulez. Mais là, ce n'est pas possible. The King of Fighters, c'est une des pires adaptations jamais vu...

A la base, le scénario n'est pas pire que celui d'un Tekken ou d'un Street Fighter. Un type vient déséquilibrer le monde en inventant ses propres régles et met la pagaille dans plusieurs clans de combattants. Jusque là, rien de nouveau, rien de fou. Mais une fois qu'on regarde le film... du manque certain de charisme des acteurs à la mise en scéne immonde à base de plan débullé en n'importe nawak, ce film ne méne à rien et ne ressemble à rien. Il ne semble y avoir aucun respect de l'oeuvre originale et en plus, on s’emmerde salement. Seul intérêt, c'est David Leitch qui incarne Terry Bogard. Le réalisateur de John Wick, Deadpool 2 et autre Hobbs & Shaw. Voilà voilà...

Note du film : 1/6

Note de l'adaptation : 0/6


The king of fighters : Another Day (2005)

Sans surprise, la série de jeu a également eu droit à ses petits OAV, de moins de 10 minutes chacun ici, et en 4 épisodes. Avec quelques affrontements, et un respect de l'ambiance des jeux, des combattant et de leur style,on tient là un petit truc tout à fait sympa qui mérite qu'on s'y attarde. Et puis comme ce n'est pas bien long, ce serait dommage de ne pas en profiter !

Note de la série : 4/6

Note de l'adaptation : 4/6





[Cinéma] Ceux qui travaillent


A la base, ce film avait tout pour me plaire. Mais si, au final, il a réussit à m'intéresser sur certains points, il n'en demeure pas moins que j'ai été déçu...

Franck bosse dans une boite de fret maritime. Un jour, pour éviter à sa boite de perdre de l'argent, il prend une décision qui pourrait finalement les mettre dans l'embarras. Il est poussé à la démission et on va suivre la nouvelle vie de cet homme qui a toujours tout donné pour son travail...

Et ce qui m'a gêné dans ce film, c'est, pourtant, une prise de risque : ce personnage peut difficilement nous être sympathique étant donné la décision qu'il prend, et qu'il affirme ne pas regretter. De plus, au final, tout cela semble justement ne pas avoir de fin en soi. Heureusement, a présence d'Olivier Gourmet, charismatique même s'il en fait assez peu ici, et un sujet d'actualité, permette de rester intéresser par les différents éléments qui vont se mettre en place.


La mise en scéne est aussi moins simple qu'elle ne le parait, et le fond est bon. Le soucis, c'est que tout cela s'imbrique pour n'aboutir sur pas grand chose. Alors, si bien sûr le chemin est plus important que la destination, ici on aurait aimé qu'il y en ait une tout de même.


Réalisé par : Antoine Russbach

Scénario : Emmanuel Marre & Antoine Russbach

Casting : Olivier Gourmet, Adéle Bochatay, Louka Minnella, Isaline Prévost...

Sortie : 25 Septembre 2019

Durée : 1H42


[Sorties Ciné] Les sorties cinéma du 30 octobre 2019

Doctor Sleep (de Mike Flanagan avec Ewan McGregor... 2H32)



Mon chien stupide (de Yvan Attal avec Yvan Attal & Charlotte Gainsbourg... 1h45)



Retour à Zombieland (de Ruben Fleischer avec Woody Harrelson & Jesse Eisenberg... 1H40)



Debout sur la montagne (de Sébastien Betbeder avec William Lebghil... 1H45)



Le traitre (de Marco Bellochio... 2H31)



La cordillére des songes (de Patricio Guzman... 1H25)



Un monde plus grand (de Fabienne Berthaud avec Cécile de France... 1H40)



XY Chelsea (de Tim Travers Hawkins... 1H32)



Chichinette, ma vie d'espionne (de Nicola Hens... 1H26)



Happy, la méditation à l'école (de Helene Walter & Eric Georgeault... 1H16)



Nécrologies (de Fabien Chombard, Guillaume Defare & Nathalie Epoque... 1H16)



Oleg (de Juris Kursietis... 1H48)



Je prends ta peine (de Anne Consigny... 1H05)


lundi 28 octobre 2019

[Série] Undone (Saison 1)


Et si la série de l'année nous venait d'Amazon ? Et si c'était une courte série d’animation en rotoscopie ? C'est peut-être bien le cas !

Alma se dispute avec son petit ami et le quitte. Peu aprés, elle percute un mur en voiture et tombe dans le coma. Lorsqu'elle se réveille, elle voit son pére mort depuis 20 ans qui lui révèle qu'elle peut manipuler le passé. Et elle va essayer de faire la lumiére sur sa mort...

La rotoscopie est un procédé particulier mais qui peut donner de jolis résultats comme celui-ci. En profitant du côté animé, l'équipe se permet d'illustrer les manipulations d'Alma tout au long de la série. Mais sa vraie force, c'est con aspect dramatique, sa justesse de ton, et le côté mélancolique qui se dégage de la série. En effet, les dialogues et les situations sont on ne peut plus réaliste.


De fait, on peut facilement s'identifier à des personnages assez éloignés des clichés habituels. On trouve en eux une vraie force, mais aussi des faiblesses compréhensibles. Les épisodes étant court, on peut sans probléme la visionner et apprécier cette série dans tour ce qu'elle a à offrir !


Créée par : Raphael Bob-Waksberg & Kate Purdy

Casting : Rosa Salazar, Bob Odenkirk, Angelique Cabral, Siddharth Dhananjay...

Diffusée en : 2019

Durée : 8 épisodes de 22 minutes




[Retro Alexandre Aja] Piranha 3D


Au départ pensé comme un remake du film de Joe Dante, Piranha 3D fini par en garder quelques idées, mais s'en distingue pas mal...

Des milliers d'étudiants s'apprêtent à "teuffer grave" à Lake Victoria. Mais un tremblement de terre plus tard et des piranhas un poil voraces ne vont pas tarder à changer la teinte de l'eau...

S'il y a bien un point sur lequel le film d'Aja se rapproche de celui de Dante, c'est dans son analyse des comportements face à une telle menace. Des années ont passés, et on ne peut pas dire que les gens soient plus malins, le film pointant régulièrement l'égoïsme de beaucoup, face à la solidarité de peu. Le soucis, c'est qu'Aja souhaitait réaliser un vrai film d'horreur, de terreur pure. Mais face à une production souhaitant avant tout un divertissement, il réalise ici un film gore, aux effets parfois peu convaincant, mais qui reste jouissif à l'occasion.


Un résultat qui doit beaucoup au talent du réalisateur français, cependant peu satisfait du résultat dont il envisage de faire retirer son nom. Le tournage étant une trés mauvaise expérience pour lui, il se laissera aller à la blague et fera son maximum pour réussir ses effets de plateau et amener un maximum de gore, laissant au final un film plutôt bon dans son genre, et dont on ne regrettera que les promesses d'origine !



Réalisé par : Alexandre Aja

Scénario : Josh Stolberg & Peter Goldfinger

Casting : Ving Rhames, Elisabeth Shue, Christopher Lloyd, Steven R. McQueen...

Sortie : 01 Septembre 2010

Durée : 1H29




[Test PS4] LEGO City Undercover


Décidant de laisser les franchises ciné ou comics de côté le temps de cette épisode, la saga LEGO continue à faire du bon !

Car si la série ne se départie pas de nombreuses références, elle créée ici son propre univers. A LEGO City, Rex Fury a été arrêté, il y a un moment, par Chase McCain. Mais il semble qu'il soit de retour et Chase va se remettre sur sa piste. le temps d'une quinzaine d'heures de jeux pour la quête principale. Et d'en rajouter plus du triple si vous souhaitez finir le jeu a 100% ! Car comme dans tous les jeux de la franchise, les bonus et personnages à récupérer sont trés nombreux.


Le gameplay reste globalement similaire et ce monde ouvert n'est pas bien grand mais tout est présent pour que l'on passe un bon moment seul ou à plusieurs ! Donc autant se faire plaisir et si on aime la franchise, on a toutes les raisons de se jeter dessus !



dimanche 27 octobre 2019

[Série] The Big Bang Theory (L'intégrale - 12 saisons)


Aprés 12 saisons, The Big Bang Theory a rendu les armes. 12 saisons dont les dernières auraient pût être éviter, mais qui resteront comme de bons moments.

Parceque des premiers épisodes semblant viser un public geek, et qui semblent aujourd'hui témoigner d'une autre époque, aux derniers, dont les références sont moins appuyées, pour laisser place à une sitcom franchement drôle, mais qui semble avoir moins de verves, on sera passé par de nombreuses choses. Des personnages récurrents se sont invités au fil du temps, des guests sont apparus (Will Wheaton, Kevin Smith, Mark Hamill, Sarah Michelle Gellar, Charlie Sheen... entre autres) et les acteurs et personnages ont vieillis. Mais on a continué à les suivre.


Et quoi qu'on en dise, ça aura été avec plaisir. Alors si aujourd'hui, on voit surgir des vidéos parlant de sexisme, d'homophobie et autres accusations de ce genre pour chaque gag du genre, il faut reconnaître que c'est aussi cet aspect aujourd'hui jugé comme politiquement incorrect, qui faisait la force des premiéres saisons, et des personnages. Les 2-3 derniéres saisons, moins inspirés, se regardent cependant assez facilement, et on ne sera déçu que du final, un peu trop léger et brutal. Reste que j'ai apprécié, beaucoup, de suivre ce petit groupe !


Créée par : Chuck Lorre & Bill Prady

Casting : Jim Parsons, Johnny Galecki, Kaley Cuoco, Simon Helberg...

Diffusée de : 2007 à 2019

Durée : 279 épisodes de 20 minutes


[VoD] Stockholm


C'est en 1973 que voit le jour l’appellation "Syndrome de Stockholm". Et c'est cette histoire qui en est à l'origine. L'histoire d'un braquage... absurde...

Lars décide de braquer une banque. Aprés quelques tirs de mitrailleuse en l'air, il se retranche avec quelques otages. Rejoint par un ancien compagnon de cellule censé négocié, il finissent par tous se terrer, demandant à ce qu'on les laisse sortir...

Et on connait la suite de l'histoire, les otages vont se lier aux braqueurs. Mais si le réalisateur prend des libertés (notamment dans le nom de ses personnages), y mêlant certaines légendes urbaines, le film reste trés agréable à voir, notamment par la performance de comédiens tout à fait convaincant. Si tout cela ne fait pas dans une folle originalité, on y croit, notamment grâce à des forces de l'ordre qui pousse l'absurde au maximum avec des décisions parfois peu logique, mais qui semble en fait coller à ce qui s'est produit.


Plutôt que de traiter l'histoire pour son aspect psychologique, le réalisateur assume le côté décomplexé de la chose, et l'humour qui en découle. Ce qui donne un petit film qui aurait tout à fait eu sa place en salle, et dont la sortir sous silence étonne. Parcequ'au final, on passe un bon moment devant...


Réalisé par : Robert Budreau

Scénario : Robert Budreau

Casting : Ethan Hawke, Noomi Rapace, Mark Strong, Christopher Heyerdahl...

Sortie : 19 Avril 2018

Durée : 1H32




[Série] American Odyssey (L'intégrale - 1 saison)


Petite série qui n'aura pas existé au delà d'une saison, American Odyssey avait de bonnes bases, mais pas les armes pour lutter...

Une soldat, un procureur et une activiste évoluent, chacun dans leur sphére. Mais ils vont bientôt se retrouver liée par une conspiration...

Rien de follement original à premiére vue, et il faut bien dire que la série ne l'est pas. Pour autant, il y a quelque chose de plaisant dans le fait de regarder une telle série, qui semble avoir quelques années de retard, voir une bonne dizaine, mais surtout avoir conservé les bons côtés des séries de l'époque. Ou presque, car on peut tout de même souligner que le format a parfois mal vieilli.


Et surtout, quelques clichés viennent émaillés une histoire, au delà de ça, plutôt bien menée. Mais qui, une fois finie, ne laissera pas une grande trace dans notre cervelle, déjà surchargé de ce genre d'oeuvres. C'est dommage. Mais jetez y un oeil quand même. 


Créée par : Peter Horton, Adam Armus & Kay Foster

Casting : Anna Friel, Peter Facinelli, Jake Robinson, Treat Williams...

Diffusée en : 2015

Durée : 13 épisodes de 42 minutes


samedi 26 octobre 2019

[I read game] Darksiders

Chapitre 15 (Partie 3)

War atteint donc la troisiéme porte, sans difficulté, habitué qu'il commence à l'être de l'usage des vitraux et des plates-formes mouvantes créés par Azraël. Derrière celle-ci, il n'est plus surpris de trouver encore de nombreux autres vitraux et d'autres bouts de roches mouvantes entravant sa progression, mais jamais plus de quelques minutes. Mais cette fois, il sent le bout du chemin approcher. Les ennemis sont pus nombreux sur sa route, que ce soit dans un nouvel ascenseur, ou dans une salle, ronde, qui lui fait même apparaître un nouveau type d'adversaire. Et la première fois qu'il le touche, de son épée, il se sent affaibli, avant de comprendre que cet adversaire lui injecte, même de cette façon, de petite dose de poison. Vigilant, il finira par rester à distance, les découpant de sa lame boomerang. Arrivé au bout, c'est un nouveau Golem qui se dresse sur son chemin. A peine affaibli, le Cavalier ne traine plus, pressé de pouvoir affronter Straga. Et si les Vitraux sont cette fois sur les murs, et plus au sol, cela lui rend la tâche encore plus facile. Et une dernière fois, il entame le chemin du retour vers Azrael, amenant avec lui le dernier rayon, qui rendra sa puissance à l'ange. Lorsque celui-ci l'absorbe, il s'entoure d'un cercle de lumiére et devient momentanément éblouissant...


Straga attend, fait remarquer le cavalier

On dirait que ton utilité arrive enfin à son terme, Azrael, signale le guetteur avec un sourire.

- Et comment comptes-tu donc quitter la tour une fois Straga éliminé ?, fait remarquer Azrael.


Surpris, le guetteur marque un temps d'arrêt.


- Straga et la tour ne forment qu'un. Même si tu parviens à la battre, tu es coincé sans moi.

- On a besoin de lui.

Prie pour que le cavalier ne revienne pas vivant.


Alors, Azrael agit une nouvelle fois, faisant s'abaisser le sol autour de lui, créant un escalier en colimaçon qui va amener War devant Straga. Celui ci l'emprunte sans hésiter, jusqu'à se retrouver sur une plate-forme qui, par la disparition du chemin de pierre y menant, le laisse seul face à l'énorme démon. Celui même qui l'a vaincu lors de son arrivée sur Terre durant l'apocalypse.


Tu t'avéres plus fort que dans les souvenirs de Straga. Mais ici, tu affrontes Straga, sans le moindre espoir de victoire ou de fuite. Straga... est le plus puissant... des ELUS... du Destructeur !

- Et le dernier. Ton maitre a bien mal choisi.

- Straga va adorer te tuer... de nouveau !


De sa longue masse agrémentée de longs pics de fer, il martéle le sol en espérant écraser le cavalier qui esquive les attaques avec difficulté, le sol tremblant sous lui. Face à cet énorme masse, War est comme une fourmi, sur ce bout de roche à la hauteur de la taille du monstre. Mais, aussi géant soit-il, le démon a bel et bien un point faible, dans le dos. Reste à savoir comment l'atteindre. Constatant l'élan que Straga met dans son bras avant de frapper, War lance un portail sur sa masse avant de se projeter dans un autre créé à l'aide d'un vitrail au sol. Straga lançant son bras en arriére avant d'attaquer, il en profite pour se porter et atteint le dos de l'Elus pour percer le point faible de son épée. Straga s'étale alors et le cavalier en profite pour enchaîner les coups d'épée au visage du démon. Et si, dans un premier temps, celui-ci résiste et revient plusieurs fois à l'attaque, il ne comprend pas comment War parvient à l'atteindre. Alors, épuisant Straga, War fini par parvenir à grimper sur son visage et plante son épée dans son oeil gauche. Son ennemi rugit et se débat. Mais l'épée finit alors dans l'oeil droit. Hurlant à la mort, il projette War qui, avant de toucher le sol, en profite pour lancer un portail dans la gueule de Straga. Rejoignant le vitrail au sol, il se jette dedans et se retrouve à l'intérieur du démon. Le lacérant et le découpant, il finit par en sortir en lui arrachant le crâne.

A ce moment, la Tour commence à s'effondrer sur elle même, mourant en même temps que son maitre. Azraël tient alors sa promesse en se dépêchant de se présenter devant War.


Comme je le disais, Straga et la tour ne forment qu'un. Voyons si je peux encore être utile.


Invoquant le puit des âmes, un énorme trou noir dont sortent des dizaines d'âmes s'ouvre devant le cavalier. Celui-ci hésite à s'y jeter. Il faut dire que les éclairs qui en sortent ne sont pas pour le rassurer.


- Dans le puits ! Vite !!!


Alors, War se lance et plonge dans le puits des âmes...


[VoD] High-Rise


Adapté J.G. Ballard n'est jamais chose aisée et plusieurs projet autour de ce roman ont été lancé. Il aura fallu attendre 2016 pour que l'un d'eux se concrétise...

Le docteur Laing emménage dans un tout nouvelle immeuble, qui ressemble à une micro société au sein de la nôtre. Bientôt, il va s'y produire nombre d'incivilité...

L'avantage de filmer une micro-société, c'est qu'on peut la faire dérailler plus vite, et imaginer à quoi ressemblera la notre dans quelques années. Le film se déroule en 1975, et emprunte donc les codes esthétiques de l’époque, et leur vision du futur. Le film a donc un certain décalage avec ce qu'on pourrait voir aujourd'hui dans le genre. Ce qui est un bon point alors même que le film est surement le plus faible de son réalisateur. Par un probléme de rythme, mais aussi un refus d'aller trop loin, limitant forcément l'apocalypse à petite échelle à venir.


Porté par un casting 5 étoiles, le film aurait pu aller bien plus loin en effet, mais s'arrête à une violence de surface pas si incroyable que ça (oui, on entend des choses pas bien éloigné dans mon boulot). Si, en comparaison des films voyant le jour ces derniers temps sur les écrans, il détonne, il n'en demeure pas moins un peu décevant en comparaison des attentes...


Réalisé par : Ben Wheatley

Scénario : Amy Jump d'aprés le roman de J.G. Ballard

Casting : Tom Hiddleston, Jeremy Irons, Sienna Miller, Luke Evans...

Sortie : 06 Avril 2016

Durée : 1H59




[Test PS4] Sonic Mania


Pour beaucoup, Sonic Mania est le grand retour de Sonic. Oui, et non en fait. Parceque le jeu est bon, mais qu'il souffre de gros soucis...

Le premier, et non des moindres : le titre ressemble parfois à une compilations des niveaux des précédents jeux. Pas au poil prés (sauf sur Green Hill, mais admettons pour celui là) mais il y a un manque de recherche évident. Constatant que la série ne fonctionnait plus, les développeurs préfèrent miser sur ce qu'ils savent déjà faire. Mais, et on touche là au deuxième problème : ils ajoutent des boss, pour la plupart raté. Quand ce n'est pas la profondeur 3D qui est trompeuse, et donc frustrante, ce sont des boss trop simple ou difficilement compréhensible.


Ce qui est d'autant plus dommage qu'il y a une vraie science du level design derriére ce jeu. Les niveaux sont sympathiques à parcourir et recélent de nombreux secrets. On trouve même de nouveaux bonus et le jeu est assez long en comparaison des premiers. Donc oui, c'est un bon jeu mais qui se loupe parfois. Pas de quoi crier au génie donc...



vendredi 25 octobre 2019

[Série] The terror : Infamy


Série anthologique dont la premiére saison m'avait convaincu, The Terror est de retour, dans un genre similaire...

Prenant cette fois place durant a seconde guerre mondiale, cette saison se concentre sur une communauté americano-japonaise et des morts qui vont la toucher, semblant causé par une entité maléfique.

Avec, donc, la seconde guerre mondiale en arriére plan, la série profite ici du folklore horrifique asiatique, et ça lui va trés bien. Car si on ne pourra parler d'effroi totale, d'horreur insoutenable, elle parvient à nous plonger dans son ambiance et, grâce à une superbe photo, à nous faire parfois frissonner.


Le casting, composé de quelques noms reconnus (C. Thomas Howell, George Takei...) et de nombreux qui le sont bien moins, fais le boulot avec efficacité et les thémes abordés, cohérents avec l'époque, profitent des développements scénaristique pour être pertinent. Si cela reste parfois un peu trop lent, voici tout de même une bonne seconde saison !


Créée par : David Kajganich & Soo Hugh

Casting : Derek Mio, Kiki Sukezane, George Takei, C. Thomas Howell...

Diffusée en : 2019

Durée : 10 épisodes de 42 minutes


[Cinéma] Abominable


A premiére vue, Abominable est un beau film Dreamworks. Le soucis, c'est quand on se penche plus en détail sur cette oeuvre, qui manque singulièrement de surprise...

Yi est chinoise (ouais, faut reconnaitre que ça semblait clair) et vit à Shangaï. Un jour, elle tombe sur un Yeti sur le toit de son immeuble. Pourchassé par un type riche qui souhaite en faire une piéce maitresse de sa collection, il va s'échapper avec Yi et ses amis...

Et là, il y a une question qui se pose. Pourquoi Dreamworks, aprés avoir réussis de magnifiques Dragons, ou de trés bons Shrek, souhaite à ce point copier Pixar ? Parceque, de Coco au Voyage d'Arlo, le film ressemble parfois à un empilement d'idées piqués à la concurrence. Et tout cela a beau être réalisé avec un savoir faire certain (et on en sort globalement diverti), on ne peut s'empêcher de se sire qu'il manque quelque chose pour rendre le film vraiment marquant.


Il manque une touche Dreamworks, il manque un sujet poussé plus loin que son simple constat écolo. Il manque de la force dans la relation entre les personnages. Tout est trop conventionnel, et s'enchaine, de maniére fluide, et avec une ou deux trés belles séquences, mais il manque tout simplement un point de vue fort. Alors oui, allez y en famille, vous passerez un bon moment. Mais pas inoubliable...


Réalisé par : Jill Culton & Todd Wilderman

Scénario : Jill Culton

Casting VO : Chloe Bennet, Albert Tsai, Tenzing Norgay Trainor, Joseph Izzo...

Sortie : 23 Octobre 2019

Durée : 1H37


[Test PS4] Danger Zone


Parceque le mode Crash de Burnout nous manque, Danger Zone est un titre plutôt sympa !

Aux commandes d'une voiture, le but sera donc de se jeter sur la route et de créer le crash le plus impressionnant, en profitant des bonus disséminés sur la zone. Il faudra aussi ne pas tomber en dehors et réussir des combos. Pas bien beau, ni trés long, ni franchement technique, le titre est agréable grâce à sa prise en main facile et son principe trés clair.


Les amateurs pourront ainsi tenter d'obtenir toutes les médailles d'or, ce qui devrait leur prendre un peu plus de temps !